SUGGESTIONS DE LECTURE « Celui qui ne lit pas de bons livres Je ne crois pas, sauf exception, aux bouquins-thérapie. Or, exceptions, il y a. J’en veux pour preuves les deux volumes proposés ici, c’est-à-dire « La Rigolothérapie » et « L’Art de ne pas travaille r». Si vous ne riez plus, procurez-vous de toute urgence « La Rigolothérapie » , volume de Paule Desgagnés publié aux Éditions Québécor, en 1996. Au lieu de faire partie des statistiques qui révèlent que les gens rient à peine plus de quatre (4) minutes par jour, vous ferez le choix d’une attitude mentale positive axée sur la gaieté. Lire «La Rigolothérapie», c’est choisir de s’éloigner de la morosité inquiétante qui est en train de s’installer dans notre société. Autrement dit, c’est choisir de « manger une frite-sauce de bonne humeur plutôt qu’un bâton de céleri, fâché ». C’est une boutade de « La Rigolothérapie » qui me servira à faire le lien avec la présentation de ma deuxième suggestion, « L’Art de ne pas travailler » de Ernie Zelenski, chez Stanké (1998).
La boutade, d’abord: C’est la personne qui dit à son copain: Et maintenant, le volume. « L’Art de ne pas travailler » est un « traité d’oisiveté active à l’usage des surmenés, des retraités et des sans-emploi ». Il s’est vendu à plus de 75 000 exemplaires. Il nous apprend à élucider le secret des loisirs réussis. Voici quelques-unes des
idées développées dans « L’Art de ne pas travailler »: Le livre est truffé de citations humoristiques qui accélèrent ma rigolothérapie. Un exemple: « Personnellement, je n’ai rien contre le travail, surtout lorsqu’il est fait calmement et discrètement par quelqu’un d’autre.» p. 56Permettez-moi de conclure par une autre citation de « L’Art de ne pas travailler »: « Je trouve la télévision très instructive: chaque fois que quelqu’un l’allume, je vais dans la pièce à côté lire un livre.» p. 156 Daniel Béland 8 |
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